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Тема/ВариантLa langue da la presse
ПредметИностранные языки
Тип работыкурсовая работа
Объем работы19
Дата поступления25.12.2012
750 ₽

Содержание

Le Contenu I.L’Inroduction……………………….... 2 II. La néologie……………………..........2 III. La phraséologie…………................. 4 IV. La grammaire………………….........5 V. Presse et diasystème…………….…...6 VI. Jeux de mots et allusions………....... 6 VII Conclusion……….................…........ 6 La Bibliographie.......................................7

Введение

LA LANGUE DE LA PRESSE I - Introduction La langue de la presse est, vers la fin du XXe siècle, un extraordinaire théâtre de liberté langagière. Aussi se heurte-t-elle à tous ceux qui, traditionnellement en France, repoussent avec un esprit frileux et malthusien l\'innovation lexicale et grammaticale. Des mots comme dangerosité ou le féminin de la ministre ont été l\'objet de véritables polémiques entre l\'Académie française, haut lieu du purisme français, et les usagers professionnels de la langue française que sont les journalistes À en croire Gaillard (1996 : 92), le style journalistique serait « simple, concret et vivant » et notamment la simplicité serait « le caractère dominant » de cette écriture. Ce jugement semble relever du voeu pieux. En réalité les journalistes essaient par tous les moyens de rendre la lecture vivante et attrayante et de faire de texte une fête du langage. Ce qui prime, ce n\'est pas la simplicité mais l\'expressivité, d\'où la part énorme qui revient à la néologie, à la phraséologie, à 1a langue parlée et d\'une façon générale à tout ce qui relève du jeu sur la langue. Le revers de la médaille est, souvent, la convergence vers un jargon journalistique fait de clichés et de formules rejetés par les usagers de la langue qui tout en l\'acceptant dans leur journal, ne le reconnaissent pas comme partie intégrarante de leur propre langage, quitte, d\'ailleurs, à le déclarer non-français. D\'où le grand nombre, depuis Beauvais (1970), de traités critique; de la langue de la presse (Dulourd,1989; Vandel,1992; Bumier/Rambaud, 1997). II - La néologie Les meilleurs dictionnaires de néologismes puisent abondamment dans la presse. C\'est le cas notamment du très riche Gilbert (1970, exploité par Goosse, 1975) qui est un véritable dictionnaire de langue, mais aussi des nombreux dictionnaires de néologismes occasionnels comme Blochwitz/Runkewitz, 1971 Merle/Perret, 1989 ; George, 1991 ; Quemada, 1993 ou GOLF, 1998. Et c\'est encore la presse que dépouillent les chercheurs d\'anglicismes, qu\'ils crient au loup comme le puriste Etiemble (1973 : 268) (« La presse tout entière sabire avec délectation : elle a honte de parler français ») ou qu\'ils récusent toute idée de menace interne comme les linguistes Klein/Lienart/Ostyn, 1997 ; voir aussi Picone, 1996.

Литература

LA LANGUE DE LA PRESSE I - Introduction La langue de la presse est, vers la fin du XXe siècle, un extraordinaire théâtre de liberté langagière. Aussi se heurte-t-elle à tous ceux qui, traditionnellement en France, repoussent avec un esprit frileux et malthusien l\'innovation lexicale et grammaticale. Des mots comme dangerosité ou le féminin de la ministre ont été l\'objet de véritables polémiques entre l\'Académie française, haut lieu du purisme français, et les usagers professionnels de la langue française que sont les journalistes À en croire Gaillard (1996 : 92), le style journalistique serait « simple, concret et vivant » et notamment la simplicité serait « le caractère dominant » de cette écriture. Ce jugement semble relever du voeu pieux. En réalité les journalistes essaient par tous les moyens de rendre la lecture vivante et attrayante et de faire de texte une fête du langage. Ce qui prime, ce n\'est pas la simplicité mais l\'expressivité, d\'où la part énorme qui revient à la néologie, à la phraséologie, à 1a langue parlée et d\'une façon générale à tout ce qui relève du jeu sur la langue. Le revers de la médaille est, souvent, la convergence vers un jargon journalistique fait de clichés et de formules rejetés par les usagers de la langue qui tout en l\'acceptant dans leur journal, ne le reconnaissent pas comme partie intégrarante de leur propre langage, quitte, d\'ailleurs, à le déclarer non-français. D\'où le grand nombre, depuis Beauvais (1970), de traités critique; de la langue de la presse (Dulourd,1989; Vandel,1992; Bumier/Rambaud, 1997). II - La néologie Les meilleurs dictionnaires de néologismes puisent abondamment dans la presse. C\'est le cas notamment du très riche Gilbert (1970, exploité par Goosse, 1975) qui est un véritable dictionnaire de langue, mais aussi des nombreux dictionnaires de néologismes occasionnels comme Blochwitz/Runkewitz, 1971 Merle/Perret, 1989 ; George, 1991 ; Quemada, 1993 ou GOLF, 1998. Et c\'est encore la presse que dépouillent les chercheurs d\'anglicismes, qu\'ils crient au loup comme le puriste Etiemble (1973 : 268) (« La presse tout entière sabire avec délectation : elle a honte de parler français ») ou qu\'ils récusent toute idée de menace interne comme les linguistes Klein/Lienart/Ostyn, 1997 ; voir aussi Picone, 1996.
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